31/05/2014
Journée roulage du Barjoteam au Luc en Provence (83)
Paru dans L.V.M. La Vie de la Moto n° 795 du 29 mai 2014
Dans la pinède autour du circuit du Luc en Provence, le silence n’était pas de mise. La journée roulage du Barjoteam a réuni une soixantaine de pilotes, le temps de réveiller quelques vieux démons ensevelis sous les poussières du souvenir.
Ouf, le soleil est de la partie. Les nuages sont soufflés par le mistral. Les participants sont installés à l’abri sous les pins pour se protéger des rayons de l’astre céleste et des bises d’Eole. Dès 8h00, les Barjorettes Domi et Pascale ouvrent le bal des formalités administratives (permis, assurance, Casm, …) pendant que Christian, Papillon et Pascal se chargent des opérations techniques. Les amis Italiens ont oublié leurs dorsales, pas de problème, on leur prêtera le matériel.
Dans la journée roulage du Barjoteam, les sides tiennent toujours une place de choix. Son Président, Christian Pétard, après quelques temps de cogitation, s’est lancé cette année dans l’aventure sur un basset à moteur 750 Suzuki de 72, son singe le trésorier de l’association Pascal Dody. L’an dernier Guy Petit et son fils Ludovic étaient sur le seul side engagé : « En 2013, les organisateurs nous avaient ouverts les portes du circuit en nous disant : faites vous plaisir. Un tel accueil, une telle gentillesse, on ne pouvait que revenir. Cette année, nous sommes six bassets. Ce rassemblement mérite d’être mieux connu. Les machines sont de vraies anciennes. Nous ne sommes pas pris en chasse par des fusées des temps modernes qui doublent à droite et à gauche : un vrai plaisir ». Jean Pierre Sanchez et Serge-Loup Truchet sont là pour peaufiner les réglages de leur side à châssis John Renwick et moteur 500 Konïg : « Hervé Truchet avec l’autorisation et les plans du constructeur, a refait à l’identique la structure du basset. En relation constante avec John, ce dernier nous donne encore des astuces pour finaliser notre projet. C’est son seizième châssis. En 68, ils étaient mues par des moteurs Vincent ». Yves Nakan finit de mécaniquer sa magnifique Ducati 750 S de 72. L’italien, Jean Luc Ferrerini effectue les derniers tests sur sa 1100 Suzuki de 89 en vue de l’A.S.I. Motor Show qui aura lieu la semaine prochaine sur le circuit de Varano de Mélégari pas très loin de Parme. Le légionnaire, Michel Lacheray va fêter à sa manière la bataille de Camerone au Mexique en 1863 sur sa 400 Kawa de 75 achetée neuve pour courir les Coupes Kawa. C’est bien connu, lorsque le matériel ne tourne pas, il se dégrade, il faut donc utiliser la moindre occasion pour le faire rouler. Jean-Christian Rogoz va piloter alternativement deux superbes machines : une BSA Rocket3 de 70 et une Olmar Manx. Jean Pierre Naudi va l’imiter tantôt sur une 600 Yamaha SRX de 86, tantôt sur une Honda RC30 de 88.
Christian Pétard, le Bien Nommé, celui qui part au quart de tour, après des débuts prometteurs n’a pu faire qu’un quart de tour sur le circuit du Luc, un boitier CDI HS. Il faut vous dire que chez les Barjos à l’assemblée générale annuelle est décerné le râteau de l’année, une distinction couronnant des petits déboires sans conséquence, bris de moteur, sortie de piste et tout plein de menu aléas qui mettent du piment dans la vie d’un motard : cet année Monsieur le Président a pris un peu d’avance sur cette distinction.
Julien Pencenat, 15 ans, effectuait ses premiers tours de piste sur un Zundapp KS 50 : « C’est impressionnant, c’est large et personne en face ».
Frédéric Erchoff revient de loin. Il y a deux ans, lors de la journée roulage du Barjoteam, il a fait un malaise sur la piste. Après une dizaine de minute de massage cardiaque et de bouche à bouche, les pompiers ont pu le ranimer et l’évacuer en hélicoptère vers le centre hospitalier : « Jusqu’en octobre, le docteur m’avait interdit la moto. Maintenant je me fais plaisir avec ma vieille 400 Kawa S3 de 74.
Je remercie les pompiers du service de sécurité du circuit du Luc en Provence pour leur professionnalisme.
Je remercie Christian Pétard pour son aide morale et psychologique lors de ma convalescence, je le remercie aussi pour son organisation à taille humaine.
Merci à tous, je revis ».
OU : Sur le circuit du Luc-en-Provence
QUAND : le 30 avril 2014
COMBIEN : 90€ la journée
PAR QUI : BARJOTEAMPAMBOUM
20, avenue des pins
06 VENCE
Tél. : 04.93.24.01.14
Barjoteam@laposte.net
Christian Pétard, Président du Barjoteam : « Je suis très satisfait, une soixantaine de pilotes et soixante dix machines, ce n’était pas gagné d’avance. A des dates très rapprochées, de nombreux clubs organisent ce genre de session et comme nous n’admettons que des machines d’au moins vingt cinq ans d’âge, les candidats ne se bousculent pas au portillon »
Départ de session : Cool certains ont les bras croisés
Side, passage délicat, on se bouscule.
Joel Guegan sur Suzuki 250 RGV de 1992.
Jean Pierre Sanchez, le pilote et Serge-Loup Truchet, le Singe sur side à châssis Renwick et moteur 500 König. Jean Pierre Sanchez : « John Renwick a construit 15 châssis dans les années 70. Nous avons utilisé les plans d’origine et avec l’autorisation de son concepteur, celui-ci est donc le 16ième châssis.
Annie chante : « Il est beau mon légionnaire, il sent bon le sable chaud ». Le fanion des caporaux du 4ième régiment étranger déployé, le légionnaire, Michel Lacheray fête à sa manière la bataille de Camerone au Mexique en 1863 où 67 militaires ont tenu tête à 2000 mexicains.
Xavier Chanetz sur 350 RD 4LO de 81 avec un carénage Sonoto.
Patrick Betheuil sur 250 Suzuki RGV de 92
Christian Monchecourt est venu s’entrainer. Il court en VMA évolution sur 400 NC 30 de 91 il y a un an en Angleterre. Prochaine étape : Nogaro et le Castelet.
Regardez bien, le numéro 34, une 400 Kawasaki S3 de 74 à son guidon Frédéric Erchoff en plein accélération. Il y a deux ans sur ce même circuit, il faisait un malaise cardiaque. Il n’a du son salut qu’au secours ultra rapide du service de sécurité du circuit : Bravo les pompiers.
Alain Ruggirelo, au commande et Gilbert Praly, dit « Titus » sur side BMW 1000 RS de 78.
Passion commune, père et fils, Guy et Ludovic Petit sur side à chassis Schmitt et moteur 750 Suzuki de 77.
Christian Foucard sur 250 Suzuki RGV de 92.
Jean Luc Ferrerini sur 1000 Suzuki de 1989.
Jacques Ellart sur 750 Honda CR Daytona.
Père et fils, Francis Pencenat sur 125 Aspés et Julien sur Zundapp KS 50.
Mario Lieutaud sur la 400 Ducati de 68.
La magnifique BSA Rocket 3 de 1970 de Jean Christian Rogoz.
Alain Pascal sur Honda 400R VFR de 93
Philippe Hampe sur Kawasaki 1135 de 80
18:45 | Lien permanent | Commentaires (5) |
24/05/2014
2ième RANDOCYCLETTE VILLENEUVOISE
Texte original de l'article
Paru dans L.V.M. La Vie de la Moto n° 793 du 15 mai 2014
Si la « Randocyclette Villeneuvoise », deuxième du nom, n’a pas eu le succès populaire escompté, une soixantaine de personnes, la qualité des machines prête à prendre la route a formé un très beau plateau.
Comme l’an dernier, le rassemblement et les inscriptions se font devant la salle Auguste Escoffier. Ce « Roi des cuisiniers » et « Cuisinier des rois » est né à Villeneuve-Loubet. Il a enchanté les papilles de milliers de gourmets avec ses merveilleux desserts : la pêche Melba, la crêpe Suzette, la poire Belle Hélène et bien d’autres mets plus délicieux les uns que les autres. Enrôlé pendant la guerre de 1870, il va être amené à étudier la technique de la conserverie alimentaire pour le bien de nos soldats.
En ce dimanche Pascal, le ciel est limpide, contrastant avec les prévisions météorologiques. Le sourire de soulagement des participants en dit long sur leurs inquiétudes : salir la moto.
Ce jour de fête est une réunion de famille. On roule en fratrie comme chez les Guerrini Vincent sur Moto Guzzi 1000 G5 de 83 et Jean François sur Moto Guzzi 125 GT de 59 ou encore les frères Thomassin, Gilles sur Norton Atlas de 63 et Patrice sur Suzuki 750 GSX de 81 ou en couple comme Christian et Denise Martin de Lorgues sur une BMW R26. D’autres se déplacent par filiation. Sébastien Rogoz est venu rendre visite à son père, Jean Christian. C’est de concert qu’ils vont avaler les kilomètres sur deux superbes Vincent noire, une 1000 Rapido de 47 et une 1000 Egli de 55. La Goldwin GL1100 de 76 appartient à Georges Duprez mais c’est Grégory, son fils, accompagné de Guillaume, petit fils de Georges, qui va piloter la moto. Levés à l’aube, la promenade a commencé tôt, père et fils, Bernard et Jean Franco, arrivent de Valdeblore sur une remarquable 750 Norton Commando S dans sa livrée jaune. Henri Génovèse est seul avec sa Kawa 750 H2 de 74 : « C’était la moto la plus rapide entre deux pompes à essence ».
Dès le départ, vers la Colle sur Loup, les grosses cylindrées prennent le pouvoir. Roquefort Les Pins, puis la route monte, la rurbanisation se fait moins dense jusqu’à s’estomper après Châteauneuf de Grasse. Le panorama se fait grandiose en arrivant sur Gourdon. Accroché au sommet d’une falaise vertigineuse à 760 m d’altitude, Gourdon, classé dans les plus beaux villages de France, est un balcon ouvert sur les gorges du Loup et de la Méditerranée. Massées derrière un imposant château entouré de jardins dessinés par Le Nôtre, les maisons anciennes ont été bien conservées et restaurées dans ce village vivant.
En quittant Gourdon, les paysages se dénudent. Le ciel s’assombrit. Du gris partout, heureusement la sinistrose ne peut nous atteindre. Dans cette campagne désertique, l’échappement de la 350 Koehler Escoffier type KS de 29 d’Albert Walser résonne. Au col de l’Ecre, à l’embranchement de la route des Claps, Christian Chevallier a du mal à relancer sa Motoconfort U24C de 56.
La route des Claps, ou des pierres, porte bien son nom. Entre les cailloux, de rares pâturages à moutons et par-ci par-là un arbre, une beauté a coupé le souffle. Nous passons tout près de l'Observatoire de Calern, situé sur le plateau de Caussols. Le site est privilégié par les scientifiques pour son absence de brumes, de poussières et une atmosphère idéale pour leurs observations. La visite est aussi l'occasion de parcourir un site riche du point de vue botanique et géologique.
Le retour à Villeneuve-Loubet, par Saint vallier de Thiey et Grasse est une simple formule et Gilles Fiasella de rajouter : « Dit bien que ma Motobécane T44 de 33 n’est pas tombée en panne ».
La fête se termine toujours autour d’une bonne table et d’une bonne bouteille : cela délie les langues et renforce l’amitié.
QUAND : le 20 avril 2014
OU : Visite de l’arrière pays Grassois
COMBIEN : 25€
PAR QUI : Amicale Rétrocyclettes Villeneuvoises
32 Corniche Notre Dame
06270 VILLENEUVE-LOUBET
http : //www.retrocyclettes.fr
François Lejars, Président de « L’Amicale Rétrocyclette Villeneuvoise » : « Nous sommes très heureux de notre seconde Randocyclette. Malheureusement nous avons fait une erreur dans le choix de la date. Le dimanche de Pâques est une fête familiale et nous avons eu moitié moins d’inscrits que l’an dernier. Comme on dit : ceux sont les erreurs qui nous rendent plus fort ».
Début du rassemblement
Photo 1b :
Un dimanche de Pâques sans œufs en chocolat n’est pas un dimanche de Pâques.
Père et fils unis par la même passion : Sébastien, à gauche sur 1000 Vincent Egli de 55 et Jean Christophe sur 1000 Vincent Rapid de 47
Look vintage pour Pierre Callede sur Matchless G11 de 57 et Fred Sanchez sur Triumph T110 de 57
Jean François Guerrini et sa belle Moto Guzzi 125 GT de 59
Dominique Rognone sur Peugeot TC4 de 54
Une belle randonnée et la vie est belle.
Francis Fournier sur sa Gnom et Rhone Super Major de 1937
Première sortie pour la 125 Motobecane LT2 de Guy Mackowiack
Grégorie Duprez et son fils Guillaume sur la superbe Goldwing GL 1000 de 1976.
Il est Heu-reux Albert Walser sur sa 350 Koehler Escoffier KS2 de 1929.
Nathalie Nogués sur 500 Monet Goyon de 1939
Les varois des « Perlés de Lorgues », Christian et Denise Martin sur une BMW R26 de 1957.
Jo Laitani sur 750 Norton Commando de 71.
Patrice Thomassin sur 750 Suzuki GSX de 81.
Gérard Marchal sur 350 Terrot HCTL de 52
Bernard et Jean Franco sur 750 Norton Commando S
21:37 | Lien permanent | Commentaires (2) |
13/05/2014
19ième SALON DE LA MOTO ET DU SCOOTER DE CAGNES SUR MER
Texte original de l'article
Paru dans L.V.M. La Vie de la Moto n° 792 du 8 mai 2014
A Cagnes sur Mer, sur l’hippodrome de la Côte d’Azur, le spectacle est grandiose. Du ciel bleu, des palmiers, le tout à quelques encablures de la mer et un public nombreux, voilà la recette pour qu’un salon soit réussi.
Ce dix neuvième Salon de Cagnes sur Mer est très branché, la fée électricité a le vent en poupe. Plusieurs fabricants ont fait le pari de rouler « propre ». Mais les modèles classiques à essence ont toujours la côte. Le salon permet de découvrir les nouveautés et des valeurs sûres. Le coté festif n’a pas été oublié, adrénaline garantie avec les spectacles de stunt, les évolutions des trialistes du Moto Club de La Gaude, les circuits sécurités et préventions de la Gema et du Moto Club de Cagnes/Villeneuve.
Le pôle moto ancienne a bien failli disparaitre cette année, Jean Pierre Scanzaroli : « Depuis la première édition du salon, la moto ancienne a toujours été présente dans les locaux du pesage, garantissant à tous les collectionneurs un lieu fermé et sécurisé par vidéosurveillance, surtout la nuit. L’an dernier, la nouvelle direction de l’hippodrome nous en a refusé l’accès. Nous étions, cette année, décidés à ne pas exposer sans cette assurance. Le feu vert est arrivé il y a une dizaine de jours et l’exposition s’est faite dans l’urgence, moins fouillée que lors des éditions précédentes mais je suis très satisfait du panel offert au public. On part du BMA de 1930, une Still de 83cc, suivent quelques modèles d’après guerre, comme un vélo Hirondelle Manufrance mue par un moteur Vap4, une AV3 de 1949, la première Mobylette d’une longue série, un Cucciolo… On achève cette rétrospective « petit cube » par les cyclo-sport, un Frandria Record de 62, un Gitane Testi super champion de 73 et un MBK CF de 87 développant 11cv. Côté scooters, l’éventaire soumis à la curiosité du public est fourni : Rumi formichino, Peugeot S55, Vespa GT et un très rare 85cc Bernardet « Le Cabri » de 1954. La populaire française n’a pas été oubliée. Des marques comme Motoconfort, Motobécane ou Terrot en 100, 125 ou 175cc ont transporté de nombreuses générations de Français. On poursuit par les années 30 avec cette superbe 250 Française Diamant type H7 ou cette 250 Monet Goyon type ML2 de 33. Le tour se conclut par les années 70-80 avec la Kawasaki 250 S1 de 72, ou ce 125 monocylindre Yamaha 2AO ou encore la 125 Royale Moto à moteur Sach dans sa livrée jaune.
Dans un salon de moto moderne, il faut créer un lien avec les spectateurs, il faut leur donner une émotion gagnante, il faut les faire rêver ».
QUAND : du 11 au 14 avril
QUOI : Salon de la moto et du scooter à Cagnes sur mer
COMBIEN : 9,00€
PAR QUI : WARE Organisation
Parc Valescure 3 - 280, allée du Petit Gondin - 83700 ST-RAPHAEL
Tél. : 04 94 52 80 80 Fax : 09 94 52 87 87
http://www.wareorganisation.fr
Musée de la moto : US Cagnes/Véhicules d’époques
20-22 chemin des Travails
06800 Cagnes-sur-Mer
Et Amicale Rétrocyclettes Villeneuvoises
32 Corniche Notre Dame
06270 VILLENEUVE-LOUBET
http : //www.retrocyclettes.fr
Jean Pierre Scanzaroli de US Cagnes/V.E.C.
Antoine Brovia des Rétrocyclettes Villeneuvoises, les deux clubs coorganisent cette événement : « Depuis le l’origine du salon, la salle des pesages est dévolu à la moto ancienne. L’an dernier, les organisateurs et les propriétaires des locaux, nous avaient boutés hors de notre lieu sécurisé. Nous étions décidés à ne plus y revenir, mais les choses ceux sont adoucies et les portes se sont ouvertes. L’exposition s’est constituée en moins de quinze jours »
Une partie de la salle d’exposition
ILS ONT 16 ans
A 16 ans, en 1964, Guy Perroton ne rêvait pas. Son père lui a payé une C77 Honda d’occasion. Puis le temps a passé, comme la moto, et à soixante ans le démon est revenu. Il s’est racheté une C77 à Montélimar chez Mr Chaneac. Maintenant, il a de nouveau 16 ans
A 16 ans, Gérard Marchal possédait un Flandria record mais il l’avait cassé et il en rêvait. Et l’an dernier il n’a pu résister. Il a traversé la France jusqu’à Verdun et a ramené dans sa besace son graal. Une rénovation de moteur, un coup de peinture blanche comme l’était le premier, et le voilà tout doux avec sa chimère. Il a 16 ans.
Maintenant qu’ils ont 16ans, il faudra attendre encore quelques années pour qu’ils atteignent l’âge de raison.
Stéphanois pur et dur, Guy Mackowiak nous présente une 125 Wonder type B254 de 1953
Devant la salle d’exposition, Honda NSR 400 de 85 et Yamaha 350 type YR5 de 73
250 Française Diamant type H7 de 1930
Cyclo Edouard Fachletner. Après une carrière de cycliste professionnelle qui l’a mené à la 2ième place du Tour 47, Edouard Fachletner est devenu assembleur de cyclos de 1953 à 56.
Harley Davidson, hydra glide 1200cc de 1954
Une belle brochette de BMW : R60/2 de 62 ; R26 de 58 et R25 de 54
Rarissime Yamaha 125 2AO de 1980
Sur fond de palmiers, quelques cyclos : MBK CF de 87 ; Gitane Testi Super Champion de 72 et Flandria Record de 62.
83cc BMA Still type C2 de 1931
Mue par un moteur 125 Sach, la Royal moto, GS Cougar de 1975.
13:25 | Lien permanent | Commentaires (2) |