22/07/2018
Royal Enfield 410 Himalayan, l’aventure et le voyage tous les jours
2018, de la nouveauté chez Royal Enfield, nouveau moteur, nouveau look, le constructeur indien fait peau neuve. Hors des sentiers battus voilà le trail le 410cc Himalayan en attendant la bicylindre Interceptor. Les normes Euro4 font bouger les lignes.
C’est sur les hauteurs de Bandol dans le var que l’importateur Royal Enfield, la société D.I.P. de Marseille, avait organisé un essai presse de la nouvelle née de la gamme : la 410 Himalaya. Cet événement s’est tenu en présence d'Emmanuel Charveron, Directeur Europe de Royal Enfield, Stéphane Hruszowski, PDG de la société DIP, Marc Caparros, Directeur Commercial de la société DIP. Au matin, le ciel est bas. On devine la mer au loin dans le brouillard. Avant d’enfourcher la moto pour ce galop d’essai, un regard sur la machine. Ce modèle tourne résolument le dos au look suranné de la marque mais sans renier la rusticité qui en ont fait son charme. Ce trail d’allure générale élégante se décline en deux livrets blanc ou noir, pas de gadget, juste le minimum de fonctionnement. Un saute vent, au-dessus d’un phare rond, abrite un tableau de bord esthétique : trois compteurs à aiguilles : un compteur de vitesse, un compte-tours et une jauge d’essence. Deux cadrans électroniques comptant de nombreuses indications complètent le confort de conduite avec, entre-autre, une boussole pour les amateurs de grands espaces. Sabot moteur, béquilles centrale et latérale, porte-bagages font partie de l’équipement de série. Une hauteur de selle à 800mm donne une possibilité de conduite à de petits gabarits. En partie basse, la machine est assez fine pour s’immiscer un peu partout, en ville ou en campagne. Le réservoir d’essence d’une capacité de 15 litres permet une autonomie de 450km. Le moteur est un 4 temps de 411cc, monocylindre longue course, simple arbre à came en tête, refroidi à air, de 24,5 ch à 6 500 tr/min, son couple est homogène et linéaire : 32 Nm à 4000-4500 tr/min. Côté partie cycle, c’est un cadre tubulaire dédoublé. Le système de suspensions a été particulièrement soigné, à l’avant, une fourche téléscopique de 41mm avec débattement 200 mm et à l’arrière un mono amortisseur de 180mm de débattement. Les roues à rayons de grandes tailles, 21 pouces en 90/90 à l’avant et 17 pouces à l’arrière de 120/70, sont destinées à prendre les chemins de traverse. Le freinage est confié à un disque de 240mm à l’arrière et un autre de 300mm à l’avant, sous le contrôle d’une centrale ABS Bosch. Le tout pour un poids de 185kg. Point de vue mécanique, c’est toujours la simplicité. Les principales petites interventions peuvent-être réglées avec la trousse à outils présente sur la moto. Sur les logos en fer situés de part et d’autre du réservoir d’essence et sur l’arrière de la moto se trouvent de nombreux points d’accroche pour fixer valises, top-case et sacs en tous genres. La selle est douce, souple et ferme, mais sur de longs trajets, des arrêts seront salutaires. La position de conduite est excellente et les pieds touchent par terre. Contact, mise en marche, le monocylindre tourne gentiment, pas de vibration. Première, seconde et nous voilà partis sur les routes varoises, pas d’autoroute, petits virages et chemin creux : son domaine de prédilection. Les mains tombent très bien sur le guidon, les compteurs sont lisibles et le saut-vent assez haut protège le pilote. La prise en main est très facile. La poignée de gaz est souple, idem pour l’embrayage. Les freins répondent présents. Surrégime ou reprise sur un filet de gaz, elle supporte à peu près tout. La machine est joueuse. Les pneus Pirelli MT60 accrochent le bitume. Montées et descentes, l’Himalayan avale tout quasiment à la même vitesse. Les plaisirs ne sont pas aseptisés. La vitesse n’est pas très élevée mais on vibre avec le régime moteur. En hors-piste, on laisse aller, son rayon de braquage et son couple moteur font merveilles. Les dimensions des roues ont été étudiées pour cela. De plus, les suspensions à grands débattements apportent un bon équilibre entre confort et maniabilité. Lorsque l’on a l’habitude de rouler sur de gros trails, hauts, lourds, bardés d’électroniques et pleins de watts, on peut se sentir un peu frustré. Sur des routes où la vitesse va bientôt être limitée à 80km/h, les 25ch du moteur LS411cc pour une vitesse maximum de 130km/h : on est dans les tons de la tendance actuelle. Elle a la simplicité des motos d’antan et la modernité de celles d’aujourd’hui, l’Himalayan ne peut être comparée à aucune autre du marché. Machine à tout faire, elle conviendra parfaitement à un titulaire du permis A2, pour des trajets en ville où à la campagne. Si vous aimez l’aventure avec un grand A, découvrir les déserts du Sahara, de Mongolie ou encore les montagnes de l’Himalaya, vous ne perdrez pas le nord : il y a la boussole. Royal Enfield pour le lancement de son 410LS Himalayan, vous fera bénéficier d'un tarif préférentiel jusqu'au 31 mars :
-Himalayan standard : 4 495 €
Après le 31 mars 2018 :
- Himalayan standard : 4 795 €
Un 400cc à ce prix-là, il y a de quoi réfléchir
.ON AIME :
Son prix 4445€
Trail robuste
Sa simplicité de conduite
ON AIME MOINS :
Puissance faible
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
CADRE : tubulaire en acier
Réservoir : 15 litres
Hauteur de selle : 800 mm
Longueur : 2190 mm
Largeur : 840 mm
Hauteur : 1360 mm
Empattement : 1465 mm
Poids en ordre de marche : 185 kg
MOTEUR:
Monocylindre en ligne, 4 temps
Refroidissement : par air
Injection électronique
1 ACT
411 cc (78 x 86 mm)
24,5 ch à 6500 tr/min
3.4 mkg à 4000 tr/min
TRANSMISSION :
Boite à 5 rapports
Transmission secondaire par chaîne
TRAIN ARRIERE :
Mono-amortisseur, déb : 180 mm
1 disque Ø 240 mm
Roue AR : 120 / 90 - 17"
TRAIN AVANT :
Fourche Ø 41 mm, déb : 200 mm
1 disque Ø 300 mm
Roue AV : 90 / 90 - 21"
D.I.P. Marseille, importateur Royal Enfield
Depuis 50 ans la Société DIP implantée à Marseille est un incontournable dans l’importation de la moto. Par son entremise, les constructeurs motos situés partout dans le monde (Italie, Inde, Corée du Sud, Taiwan, Chine) peuvent s’implanter et se développer en France et en Europe. Plusieurs marques prestigieuses ont fait appel à leur savoir-faire : Fantic-Caballero, Malaguti, Aprilia, Beta, Hyosung, Daelim, Keeway, Royal Enfield, Benelli, SWM, Orcal, Greentrans. C’est aussi un réseau de plus de 450 magasins, une équipe technique et commerciale entièrement dévouée à sa clientèle. C’est un outil de travail performant, expérimenté et affuté par ses années d’expériences au service du deux-roues.
DIP SAS
ZAC de la Valentine
117 tr. de la montre
CS 60114
13923 Marseille cedex 11
fax: 04 91 35 05 12
09:17 | Lien permanent | Commentaires (0) |
FRENCH RIVIERA MOTORCYCLE FILM FESTIVAL ou naissance d’un festival
A l’espace magnan, le premier festival du film moto de Nice a rencontré un franc succès. Les trois jours de projection ont donné l’occasion à des cinéphiles et des passionnés de moto de voir sur grand écran de courts et de longs métrages consacrés à la moto. Président du jury, Freddy Spencer a exprimé son émotion et sa fierté de faire partie de cette aventure niçoise.
Photo François Pacou
Il y a juste un an, deux anciens du Challenge Honda S3, revenaient d’une compétition sur le circuit du Luc-en-Provence. Olivier Wagner, passionné de moto, de photos et de cinéma raccompagnait sur Nice, Didier Constant, rédacteur en chef du magazine canadien « Motoplus.ca ». Olivier parlait de sa passion de l’image, de la moto et de son regret qu’il n’y ait aucune manifestation sur ce sujet. En homme d’action avisé, Didier lui a dit : « Fonce et je t’aiderai ». Quelques fois, il suffit d’un déclencheur ou d’un petit « clic » comme pour la photo. Olivier s’est remonté les manches et en petit comité, a monté son festival. Un travail de longue haleine. Le Jury était composé de pilotes, de journalistes et de professionnels de l’image : son Président Freddy Spencer, trois fois Champion du monde Grand Prix moto, à ses côtés, un autre pilote, Eric Saul, créateur et organisateur de l’ICGP, Gérard Delio, photographe de circuit depuis les années 70 et Didier Constant, journaliste, venu pour le week-end du Canada pour conclure une affaire commencée il y a tout juste un an. Dix-huit longs et courts métrages, d’une durée de trois minutes à trois heures, la sélection des films était internationale : Australie, Mexique, Belgique, Italie, Royaume Unis, USA et France. Du documentaire à de l’intrigue amoureuse, de la compétition sur circuit au du moto cross, il y avait de quoi satisfaire tous les styles de public. A l’issue de ces rencontres, c’est devant un public conquis que trois prix ont été décernés. Un émouvant moment avec la réaction en direct sur grand écran depuis l’Australie, du pilote Christophe Barrière-Varju, sujet principal du film Dream Racer de Simon Lee (Paris-Dakar sans assistance, 2012). L’ancien pilote, Bernard Fau, réalisateur du film "Il était une fois le Continental Circus" était également de la partie. Ce dernier a présenté pour la première fois sur grand écran les toutes premières images de ses films en cours de réalisation, "Zarco et le Continental" ainsi qu'un film sur le Tourist Trophy. Aux sorties de la salle de spectacle, les mines sont réjouies. Pour un coup d’essai, ce fut un coup de maitre, ce 1er festival de film moto de Nice apporte encore un peu plus de rêve à notre passion et ne demande qu’à grandir et à se développer.
ENCAR MANIF
QUOI : FRENCH RIVIERA MOTORCYCLE FILM FESTIVAL
QUAND : du 02 au 04 mars 2018
COMBIEN : 9€/jour
OU : Espace Magnan à Nice
Par QUI : www.frmff.com
Facebook : https://www.facebook.com/frenchrivieramotorfilmfest/
Instagram : https://www.instagram.com/french_riviera_motor_film_fest/
FilmFreeway : https://filmfreeway.com/festival/FRMFF
Olivier Wagner : 06.58.89.75.43
Mail : owagner@frmff.com
PALMARES
Prix du Public : Dream racer de Simon Lee (2012), Du rêve à la réalité, un pilote se lance dans l’aventure du Paris-Dakar sans sponsor, sans mécano juste sa foi.
Prix du Meilleur court métrage : Black linghtning : The Rollie free story de Zach Siglow, Documentaire sur la vie de Rollie Free jusqu’à son record sur le lac salé de Bonneville à 242Km/h sur une Vincent HRD en limande et tenue légère.
Prix du Meilleur Long Métrage : Il Mago Mancini de Jeffrey Zani (2016) Ils sont sous les projecteurs : Valentino Rossi, Loris Capirossi , Andrea Dovizioso , Franco Morbidelli. Dans l’ombre depuis 30ans, Guido Mancini a transformé de jeunes promesses en grands champions
Olivier Wagner, Président et organisateur du festival : « Qu’il s’agisse de sport, d’aventure, de vitesse, de tout terrain, la moto est et reste un formidable vecteur de liberté. Je veux avec ce festival, vivre ma passion en partageant des œuvres cinématographes d’amateurs et de professionnels de tous les continents ».
A Nice, sur le Quai Rauba Capeu et devant le monument « I Love Nice », organiseurs et jury prennent la pose :
Benjamin Donadieu, réalisateur du film "Sultans of Sprint"
Michelle et Ned Thanhouser, réalisateur du film "The Monkey and Her Driver"
Eric Saul, membre du jury - pilote et créateur de l'ICGP (International Classic Grand Prix)
Olivier Wagner, Président et fondateur du Festival
Freddie Spencer, Président du jury - pilote de GP triple champion du monde
Alexandra Catti, membre du jury - spécialiste des relations publiques et du marketing dans le monde des GP Moto
Gérard Delio, membre du jury - photographe de circuit professionnel depuis les années 70
Didier Constant, membre du jury - rédacteur en chef du magazine "Motoplus.ca"
Josselyne Belieu, organisatrice du festival, relation presses
Freddy Spencer, Président du Jury du 1er French Riviera Motorcycle Fiml Festival : C’est avec beaucoup d’honneur et de plaisir que je suis ici. Pendant l’enfance, des choses vous manque à jamais. J’ai été subjugué par le film « Challenge One » avec Steve Mc Queen. IL m’a fait rêver et m’a poussé à devenir ce que je suis ».
Présenté hors compétition "Il était une fois le Continental Circus" du pilote et réalisateur Bernard Fau.
Affiche du film « 1971. Motorcycle Heart » réalisé par Stéphanie Varela
Hors compétition « Les fiancés de la mort » de 1957 avec Pierre Monneret, Geoffrey Duke
« The monkey and her driver » de Ned Thanhouser. Un side féminin, Kenfra et Betty dans des courses nationales aux USA
Avec « The art of moto » de Mark Homan : vous devenez pilote de moto cross, vous volez dans les airs.
08:45 | Lien permanent | Commentaires (0) |
21/07/2018
Randocyclettes Villeneuvoises 2018
Après un hiver, plus que maussade, c’est une centaine de personnes et soixante machines qui se sont retrouvées pour revisiter ce magnifique arrière-pays de la Côte d’Azur.
Villeneuve-Loubet, une commune où il fait bon vivre. Depuis vingt ans, elle est distinguée aux concours des villes et villages fleuris. Le rassemblement de l’Amicale Rétrocyclette Villeneuvoise a lieu sur la grande place à l’ombre des platanes et à quelques mètres de la rivière Le Loup. La pluie et le froid de ces derniers temps ont fait place à un soleil généreux, une douce journée nous attend. Au fil tu temps, les motos des années 70/80 ont supplanté celle des années 30-40. Un des premiers sur le rassemblement, Mouss Ghilas et sa superbe Yamaha YR3 de 69 : « Le père d’un copain venait chercher son fils avec cette machine, elle me faisait baver et… j’en bave encore ». Gérard Dunois a gardé intact cet amour pour la Kawa H2 comme lorsqu’il ferraillait en Critérium 750 pour une place au soleil. Jean-Pierre Pauselli a encore la carte grise d’origine de sa 250 Yamaha RD achetée neuve en 1976. Joseph Niéto et Philippe Bacchialoni vont rouler sur Suzuki RG gamma : 500 de 88 pour le premier et 400 de 85, cette dernière n’a jamais été commercialisée en France. Le Vespa Club Côte d’Azur est fort de sept membres. Vers 10h00, on prend la route de La Colle, Saint Paul de Vence. Après les dernières maisons, sur le col de Vence, les chevaux moteurs peuvent hennir de plaisir et exprimer toutes leurs capacités. Dans les gorges sous le hameau de Saint Pons, la 250 Stylson de 29 de Guy Mako et la Motoconfort R44C de Francis Fournier font un bouquant d’enfer amplifié par l’écho. Que cette nature est belle à la sortie de l’hiver. Les montagnes encore blanches de neige, le soleil, la mer au loin, on se sent bien. Entre Gréolières et Cipières au fond d’un vallon, on passe devant un pont de pierres et un cours d’eau : un petit paradis. Ce coup de cœur sera peut-être le but d’une prochaine balade. Dans la montée entre Gourdon et Caussols, la Motobécane LT2 de Jean-François Guérini s’époumone. Il est suivi comme son ombre par Vincent, son frère sur Moto Guzzi 1000G5. Lana, 10 ans, ne manque pas une miette de sa première expérience derrière son papy, Daniel Fauvre sur Suzuki 380GT de 75. Et si on lui demande si elle aimerait recommencer, c’est un grand « Ouai » venant du fond du cœur. Trois générations d’Amérigo participent à cette balade, de Guy, 81ans à Scott, 13ans. Ce dernier ralle, sa sœur, Tess, 15 ans roule sur son scooter : vivement l’an prochain quand il aura son BSR.
ENCAR MANIF
QUAND : le 22 avril 2018
OU : Visite de l’arrière-pays Grassois
COMBIEN : 35€
PAR QUI : Amicale Rétrocyclettes Villeneuvoises
32 Corniche Notre Dame
06270 VILLENEUVE-LOUBET
http : //www.retrocyclettes.fr
François Lejars, Président de l’Amicale Rétrocyclette Villeneuvoise : « La réussite d’une manifestation est l’œuvre de plusieurs ingrédients : des bénévoles, des participants et du soleil. Je remercie dont tous ces facteurs et la mairie de Villeneuve-Loubet »
Rassemblement
Mous Ghilas et sa très rare 350 Yamaha YR de 1969
Daniel Fauvre sur Suzuki GT 380 de 75, donne le gout de la moto à Lana, sa petite fille
Ils sont sept du Vespa Club de la Côte d’Azur
A gauche Jean-Pierre sur 250 Yamaha RD de 76, Yves sur Ducati 750S de 72, Philippe sur 400 Suzuki RG Gamma de 85 jamais importée en France et Joseph sur 500 Suzuki RG Gamma de 88
Première balade pour Joël Malatino sur Kawa Z900 de 74
Gérard Dunois sur sa très belle Kawasaki H2 de 72
De la tétine avec la 125 Yamaha enduro de Laurent Cloux et Jennifer
Jean Claude Amérigo sur 175 Mondial de 55 surveille sa fille, Tess, 15ans qui effectue sa première grande promenade : l’oiseau prend son envol.
Jean Marie Reverso va perdre le sélecteur de sa BSA A10 de 54 mais un autre participant va le récupérer.
Tranquille Guy Mako sur sa 250 Stylson de 1929
Le cadre de la 103 de Dédé Tiranty était destiné à la destruction. Une roue blanche, une rouge, un guidon et un certain nombre pièces glanées çà et là et la voilà reparti pour un tour du monde.
Eric et Michelle Musso grimpe le col de Vence sur une Moto Guzzi V7 sport de 1973
Très belle Norton Atlas e par Gilles Thomassin
Ils s’arrêtent pour contempler le magnifique paysage, Josiane Aurouze sur 50 spéciale de 64 et Christian Villanova sur PXe de 91
19:39 | Lien permanent | Commentaires (0) |
Coup de tonnerre au Ventoux Classic 2018
Une réussite complète, des Champions et des poireaux, deux cent soixante machines de folies dans un cadre paradisiaque au pied du Mont Ventoux. Le moto club MC2A a trouvé la clé du succès mais victime de cette prospérité le moto club et son Président, Pierre Faure jettent l’éponge pour l’organisation 2019.
A Malaucène, la source du Groseau est un site classé depuis 1912. Sa résurgence jaillit au pied d'une falaise de plus d’une centaine de mètres. Depuis l'Antiquité, ce point d'eau est à l'origine de la vie des communautés qui se sont formées aux alentours. Une fois l’an, ce havre de paix et de fraîcheur doit son nom au dieu païen Groselos, il est aussi le lieu de rassemblement de « Ventoux Classic » du MC2A. La montée du « Géant de Provence » est une voie royale auréolée de légendes. La ligne de départ est dans la pénombre à côté du petit lac que fait la résurgence. La route large, bien goudronnée est enserrée entre d’un côté la falaise, de l’autre de grandes futées. Sans grandes difficultés, on peut envoyer du lourd avec quelques chicanes ça et là calme les ardeurs. Un dernier virage, le paysage s’élargi, de la lumière : c’est magique. Cette année, la vedette est le side-car 1000cc Motosacoche 2C9 de 1918 du suisse, Éric Bezon. Un siècle ça se fête, Éric : « C’est une machine officielle d’Usine, c’est un exemplaire unique, elle a gagné le Ventoux en 22, 23 et 24, à ses commandes Edouard Gex ». Des pilotes de renoms sont venus grossir le nombre d’engagés : Alain Michel, Champion du monde de Side-car en 1990, Jean-Claude Castella, Champion suisse de side-car en 1966, Salvator Canellas, premier pilote espagnol vainqueur d’un GP de vitesses. Dans le paddock, c’est l’occasion de grandes retrouvailles, l’hiver a été long. Passés entre les mains d’artiste décorateur, certain side de rallye où de tourisme sont de véritables œuvres d’art. Les indiens sur la carrosserie de la Suzuki Hayabusa des Buchet où les aigles sur la Yamaha Side Bike des Billon en sont de superbes exemples. Le club « des vieilles bécanes du Beaujolais » a déplacé une quinzaine de machines dont une 900 Bol d’Or à cadre Martin, une 750 four et une Laverda 500 formula. Ils viennent de Cannes-et-Clairan dans le Gard, ici c’est du pétochon et du cyclo. La Motobécane Z46C de Daniel Guillot est une sortie de grange avec de nombreux points de rouille et son propriétaire de dire : « Attention peinture neuve ». Alain Cacchioli maugrée contre sa 350 Bultaco Metralla : « Elle marchait hier, elle ne marche plus aujourd’hui ». Dans la soirée, le Maire de Malaucène, Dominique Bodon affirme : « Des français, espagnols, suisses, cette rencontre est un succès incontestable. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’elle perdure. Alors rendez-vous est pris pour l’an prochain ».
ENCAR MANIF
OU : Malaucéne (84)
QUAND : 28 & 29 avril 2018
COMBIEN : 65€ moto et 70€ side-car
PAR QUI : Association MC2A
10, rue des Lavandes
84000 AVIGNON
http://www.asso-mc2a.com
Pierre Faure, Président du MC2A : « Nous sommes trois personnes pour l’organisation de cette manifestation. Cela devient trop dur physiquement et moralement. Nous n’avons aucun intérêt financier, tous les bénéfices sont reversés au Centre Anti-Cancéreux. Nous avons donc décidé de stopper ce rassemblement, du moins sous sa forme actuelle. J’avais depuis un an ou deux demandé de l’aide mais quand tout fonctionne personne ne se décide à venir donner un coup de main. Il fallait un électrochoc : c’est fait ».
1918- 2018 Cent Ans cela se fête.
Il a fait l’affiche de la neuvième édition de Ventoux Classic, le side 1000cc Motosacoche 2C9 de 1918 d’Eric Bezon et Mathias Brugger
Une création Alain Michel, Champion de monde side-car en 1990, mise en marche 7h00 avant la photo : moteur XS et cadre Richman Métisse
La Laverda 750S de 69 de Dominique Bodon, maire de Malaucéne est passé au contrôle technique.
Le fauve est laché, la machine rugit : Maurice Maingret sur 500 Jawa ACT de 53
Tout au diapason, la 450 Honda K2 de 70 de Guillaume Lachéze, la 350 Kawa S2 de 71 de son frère, Charles, la Egly/Honda 1000R de 80 de leur copain, Patrick Collet et le Peugeot J7 de 79 pour transporter l’ensemble.
Elle fonctionnait ce matin avant de la mette dans le camion. Rien ne marche à la descente, Alain Cacchioli et sa 350 Bultaco Metralla GT présérie usine de 75 (2 construites)
Claude Caucal sur 500 Magnat Debon 2ACT / Nougier de 1937
Le Suisse, Jean-Claude Castella sur AJS 7R 350 Boy Racer de 1954
Christian Larochette sur Jawa type 354 de 1957
Virginie Larnac sur 250CB Honda G de 1975
Bernard Duchet sur 750 Nimbus de 1957
Très belle 500 Motosacoche de 1923 de Gérard Hérisson
Redescente des Sides, en tête Alain Monchal et Gilbert Brazzi sur 1000 Bmw Ragonnet de 1979
Moto Guzzi Gambalunga 600 Longhi de 1946 pilotée par Jean-Luc Cotte
Moto Guzzi V65 de 83 pilotée par Philip Revel
18:47 | Lien permanent | Commentaires (0) |
Sainte Agnès, 2018 un petit tour entre amis
Fin janvier, comme chaque année, depuis dix-sept ans, la montée hivernale de Sainte-Agnès (06) est l’occasion rêvée pour une centaine de participants de reprendre en douceur les commandes de leur moto.
Comme chaque année, depuis dix-sept ans, c’est un plaisir chaque fois renouvelé que de venir à ce premier rassemblement. On pousse la porte à une saison que l’on espère riche en souvenirs et amitiés. Le lieu de ralliement est la place des deux frères à Roquebrune village. Au milieu de celle-ci trône un olivier centenaire et la vue est féérique. Au cours des précédentes éditions, on a vu le paysage sous le soleil, la pluie ou encore la neige, c’est à couper le souffle. A chaque seconde les sens sont en éveil. Perché à 225 mètres d’altitude, le village est un balcon sur la méditerranée et sa côte déchiquetée : un vrai plaisir des yeux. 9h00, les machines vrombissent dans la montée du village. Par leur couleur orange, deux motos attirent les curieux. La Laverda 750 SF d’Arnaud Butzbach et la 350 IZH de 78 de Michel Graille. Cette dernière de conception russe est une machine rustique. Une autre capte l’attention, la Kawasaki 400 KH de 1976 de Jérôme Bruno peinte en vert foncé du plus bel effet. Alain Redolfi a convaincu sa fille, Camille, et c’est ensemble qu’ils feront la balade, lui sur Kawasaki S2 de 71 et elle sur Dax ST70. La palme de la rareté revient à la Voxan Black Classic de 2005, numérotée 15 sur les 21 produites et la Triumph X75 Hurricane pilotées respectivement par Yvon Ravet et Michel Alessandri. La Hurricane, au design épuré, née sous le crayon de Craig Vetter avec son réservoir en goutte d’eau et ses trois pots relevés, elle est très belle. Vers 10h00, la caravane se met en ordre de marche. Descente vers Menton et la mer, en passant devant le marché de Roquebrune Cap-Martin, place des Allobroges, les yeux des passants sont écarquillés. On remonte tout de suite sur Gorbio. Sur la place du village, comme un rituel, l’arrêt sous l’orme planté en 1713, est sans aucun doute le symbole de Gorbio. Il appartient désormais au patrimoine collectif. Sous Sainte Agnès, le club de boules « Le Coq Roquebrunois » nous offre un petit réconfort : un vin chaud avant de finir la matinée au restaurant « Le Saint Yves ». Raviolis, tourte de courge, daube de chevreuil, gâteaux des rois et champagne, une mise en bouche à l’orée de la saison qui s’annonce.
QUOI : Petit roulage hivernal
QUAND : le 28 janvier 2018
COMBIEN : 35€
PAR QUI : MOTOS et SCOOTERS de ROQUEBRUNE CAP-MARTIN
Hôtel de Ville
06 ROQUEBRUNE CAP MARTIN
Tél. / Fax : +33.04.93.57.06.58
http://www.motoscootrcm
André Mazzoni, Président de Motos et scooters de Roquebrune Cap-Martin : « Depuis notre première, il y a dix-sept ans, les personnes et les machines ont bien changé. Maintenant, les motos des années viennent en force, mais c’est toujours avec le même enthousiasme. Je remercie l’ensemble des participants
Photo de famille, avant le départ, sur la place des deux frères à Roquebrune Cap Martin, en fond le château du village
Devant un belvédère, deux Norton Commando
François Grippi et sa Honda 750 de 73 : « J’ai eu mon permis en 74 et je rêvais de 750Four mais mon père, Vincent, m’a dit : « Trop puissant, tu vas te tuer ». A cette époque, on écoutait son père. J’ai mis un mouchoir sur mes désirs et j’ai acheté une 500Four. Le jour de mes 60ans, on a fait la fête à la maison. Mon petit frère, Tony est allé chercher notre père (94ans) en maison de retraite. Mon cadeau était cette 750Four dont je rêvais depuis 42ans. Mon père était là : il m’avait donné son autorisation. Quelques jours après, il est décédé ». Les larmes coulent sur les joues de François : pour son père ? pour la moto ? Ou pour cet ensemble de choses qui nous retient à notre passé ?
Exceptionnel la Triumph Hurricane X75 de 1972 de Michel Alessandrini. En 1969, à la demande de Don Brown, alors directeur de la branche américaine de BSA, Craig Vetter, un jeune ingénieur dessine cette moto spécifiquement pour le marché US. Cette Hurricane n'est autre qu'une BSA Rocket III restylisée et dotée d'une boîte cinq vitesses. Elle fut la dernière machine fabriquée dans les usines de la Birmingham Small Arms (BSA), à seulement 1 154 exemplaires.
Daniel Giraud sur Honda VFF 750 de 1984
Daniel Dupont sur Kawasaki 350 S2 de 1972
Superbe Velocette de 1937 de Christophe Carasco
Très rare sous nos cieux, une IZH 350cc de 1978 de Michel Graille
Il fait l’andouille sur sa Kawasaki 350 S2 de 1972, Bernard Boyette fut le mécano d’Alain Renouf
Robert Gosselin, un ancien des Coupes Kawa. sur une Suzuki GT 750 de 1973
Redolfi, père et fille unis par la même passion, Alain sur Kawa.S2 et Camille sur Dax ST70
Il fut Champion de France Rallyes Routiers, Gérard Spagli sur Suzuki RS 500
La Matchless G3L de 1944 de Pierre Callede a participé au débarquement de Normandie
Yvon Ravet sur Voxan Black Classic de 2005, la numéro 15 sur les 21 produites
L’Italien, membre du club « Rivièra deï Fiori », Georges Zagni sur son Lambretta 125 type D de 1952
18:19 | Lien permanent | Commentaires (0) |
Motos d’hier et d’aujourd’hui à Roquebrune Cap Martin
La première expo-bourse de l’association « Motos et scooters de Roquebrune Cap Martin » a rencontré un vif succès en ce dimanche de fin janvier.
En moto, chaque moment de l’année a son temps fort le printemps et l’été pour rouler, l’automne et l’hiver pour réparer ce que l’on a cassé et faire des expositions avec des machines que l’on vient de rénover. En cette fin janvier, le club « Motos et scooters de Roquebrune Cap Martin » organise sa première expo-bourse place Jean Gioan. Il fait doux, le soleil brille, la Méditerranée est à quelques pas : le paradis sur terre. Sous le grand chapiteau, quelques merveilles excitent les regards. Comme à chaque fois, les amis du Président, André Mazzoni amènent du très beau matériel. Au milieu de la salle d’exposition, trône sur un podium d’une vingtaine de mètres de long, un panachage de motos de courses de tous temps : 500 AJS de 59, GSXR 1000 de 2017, Norton Manx de 59, Kawa ZX10R de 2013, Triumph T100 de 58, on entre directement dans le thème de l’exposition. Autour de cette tribune, la même fusion entre les machines de tout âges et de toutes cylindrées : de la 311cc Motorette Terrot de 1914 à la Suzuki GSR de 2016 (26ième Bol d’Argent), du 50cc Cucciolo à la 1200 Indian Chief : la passion ne se mesure ni en années, ni en puissance moteurs. Quelques concessionnaires sont présents dont Pascal Enjalbert, Kawasaki de Roquebrune. Bol d’or, bol d’argent, courses Promosport rien n’arrête ce fou de vitesse. L’agent Royal Enfield de Saint André de la Roche, Christophe Carasco a relooké une bullet classic en une machine tout terrain, une esthétique particulièrement réussie. Deux stands annonces deux grands événements qui vont se dérouler sur la Côte d’Azur. Le premier, début mai, en marge du Grand Prix Historique de Monaco (voitures) ; une quarantaine de pilotes motos pourront fêter sur ce circuit mythique les soixante dix ans de l’unique GP de 1948. L’autre fait marquant : le Grand Prix d’Ospédaletti en Italie se déroulera les 9 et 10 juin 2018, un circuit en pleine ville et plein pot. Jean-Louis Cruvelier, ancien Président du Vespa Club de France, dédicace son livre « 260.000km en Vespa », en vente à la « Boutique du collectionneur ». Son ami, Gérome Jauffret est comblé. Tout gamin, il s’amusait sur la 125 Monet Goyon SV6 de son grand-père, Victor, conducteur de chantier à l’équipement. Son père, Joseph en a hérité. Et depuis un mois, elle est à lui. Son enfance est là !!! C’est un grand moment de joie. Il est HEU-REUX.
André Mazzoni, Président de Motos et scooters de Roquebrune Cap Martin : « Je suis très content pour une première c’est une réussite. Le temps était de la partie, il a fait très beau. Les gens sont venus nombreux. Je remercie les collectionneurs italiens et français qui ont mis à ma disposition de très belles machines »
Ambiance
Le globe-trotteur Jean-Louis Cruvelier et sa Vespa 125 de 2001 dédicace son livre « 260 000km en Vespa », en vente à la boutique du collectionneur.
Pascal Enjalbert a fini 26ième le Bol d’Argent 2016 sur sa GSR750
Christophe Carasco, concessionnaire Royale Enfield à Saint André de la Roche présente une création. Sabot en alu, filtre à air, échappement, selle, garde-boue, sur la base Bullet standard ont été modifiés
Au premier plan une 1200cc Indian Chief de 1940
Au second plan une 500cc Idian de 1942
Deux très beaux scooters à gauche un 150 Henkel de 62 et un 125 Bernardet de 54
311cc Motorette Terrot de 1914
En rouge une 500 BSA Blue Star de 32 et une Motosacoche D50 de 1930
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Salon Moto de CAGNES/MER 22ième édition 2017
L’hippodrome de la Côte d’Azur ouvre, pour la 22ième édition, ses portes au salon de la moto. Un rendez-vous incontournable des amateurs et des professionnels du deux roues et du quad.
Du soleil, du ciel bleu : les beaux jours sont de retour. Sur une Côte d’Azur toujours plus bétonnée et une industrie touristique en augmentation, se déplacer est chaque jour plus difficile. Alors pour aller chercher son pain, faire un tour à la plage ou si vous avez des envies de grand large, le deux roues est encore un espace de liberté. Yamaha, Honda, KTM, Suzuki, Peugeot, Indian…Comme chaque année, les concessionnaires font la part belle à leurs nouveaux modèles et le look vintage a toujours la côte. Coté animation, les « Ultimate Burning » ont fait chauffer la gomme, les trialistes du Moto Club de la Gaude ont assuré un show freestyle de haute volée. Nice-Matin s’est joint à Christophe et Alex du club Classic Moto Nice pour créer un concours : moto/personnage. Les deux amis sont aussi des organisateurs de séjours à la carte vintage et épicurien dans l’Europe du sud sur de vraies machines de collections : 500 XT, CBX1000, 750 four, … « Nous sommes passionnés! Nous aimons nos motos. La destination est juste une excuse pour la balade ». Le concessionnaire Oural, « Classic Bike Esprit » de Saint Rémy de Provence, avait déployé une grande tente de camping pour démontrer aux amoureux de grands espaces que leurs sides pouvaient remplacer une voiture tout en ayant le visage au grand air. Sur le stand de « Legend Motor Sport » Jean-Louis et Stephane vous accueillent avec un sourire grand comme ça. Leurs machines sont des bijoux : Laverda 750SF, BSA A7, Ducati 750 sport. Ils ont même une Ducati 1000 MHR de 1985 neuve, 0 km qu’un client leur a demandé de remonter. Comme chaque année, depuis vingt deux ans, un espace musée est organisé par des clubs de la région. C’est l’incontournable de la manifestation. Un soupçon de vélo, ceux du début de 1900, quelques cyclos, ceux qui nous ont fait rêver, des motos d’entre deux guerres, puis vous ajoutez des japonaises et des populaires et voilà la recette gagnante. C’est pour cela que des personnes viennent en curieux, puis plus tard en tant que participants à l’exposition. Un exemple, Michel Lamouroux dans ses jeunes années a participé à quelques courses, quelques Bol d’Or, puis s’est arrêté. Mais la passion est revenue. Il expose un Gitane Testi. Et si vous lui demandez lui son plus beau souvenir, il vous dira sans hésiter : « Avoir fait il y a trois ans un Bol d’Or Classic avec son fils Dimitri ». Quand on aime, c’est chaque fois la première fois.
QUAND : du 14 au 17 avril 2017
QUOI : Salon de la moto et du scooter à Cagnes sur mer
COMBIEN : 9,00€
PAR QUI : WARE Organisation
Parc Valescure 3 - 280, allée du Petit Gondin - 83700 ST-RAPHAEL
Tél. : 04 94 52 80 80 Fax : 09 94 52 87 87
http://www.wareorganisation.fr
Musée de la moto : US Cagnes/Véhicules d’époques
20-22 chemin des Travails
06800 Cagnes-sur-Mer
Et Amicale Rétrocyclettes Villeneuvoises
32 Corniche Notre Dame
06270 VILLENEUVE-LOUBET
http : //www.retrocyclettes.fr
Jean-Pierre Scanzaroli : « Je ne suis pas tout seul. C’est une organisation qui implique deux clubs le VEC de Cagnes sur mer et ARV de Villeneuve Loubet. Comme chaque année, je remercie les organisateurs du salon qui nous laissent une place conséquente pour exposer nos merveilles. Je remercie également les collectionneurs qui nous prêtent leurs machines et les nombreux volontaires qui assurent les tours de gardes tout au long du salon »
500 Monet Goyon LS5L de 1936
Vélosolex 1010 de 1957
Sur le stand « Legend Motor Sport » de Mouans Sartoux, au premier plan une 500 AJS 18S de 1952.
Guy Mackowiak et Gérard Marchal derrière deux très belles machines : une Française Diamant à moteur 250 Zucher de 1929 et une 350 Radior AJT de 1930
L’écossais, Steve Bryson et son Lambretta G50 de 1967.
Un nom prédestiné
Ils sont venus faire un tour sur le salon : à gauche, Eric Vial sur un ACMA de 1955 et Gérald Vespa. Avec un tel nom, ce dernier est aussi le Président du Vespa Club de la Côte d’Azur et Vespa GTR de 1972 est son année de naissance.
Manu de Sud Choppers et sa HD WLC de 1943.
Classic Bike Esprit de Saint Rémy de Provence, concessionnaire Oural.
Deux très beaux 100cc Yamaha YL1 de 1968 et 1971
Avec Vintage motorcycles tours organisateur de séjours vintage et épicuriens : « La destination est juste une excuse pour la balade ».
Le coin des scooters : Vespa 125M de 55, Lambretta N de 62 et Peugeot S55 de 54.
Un parcmètre, un Vélovap, un bidon de Solexine,…Et le passé ressurgi.
Une belle rangée de machines entre deux guerres.
Les beaux jouets de grands enfants
Une merveille de technologie : la moto électrique au look vintage
08:26 | Lien permanent | Commentaires (0) |